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TopoVideo
VidéoExplicative
VideoMarketing
Par
Arthur
4/12/2018
TopoVideo réalise des vidéos explicatives depuis 2014. Nous avons accompagné plus de 400 clients et réalisé plus de 1000 vidéos. Dans ce livre blanc, TopoVideo vous partage son expérience dans la réalisation de vidéo explicative à travers 3 chapitres :
1 – Une bonne vidéo explicative, c’est quoi ?
2 – Comment produire une vidéo explicative ?
3 – Quelles sont les étapes de production d’une vidéo explicative ?
Extrait, du livre blanc « Comment réaliser de meilleures vidéos explicatives ? » par TopoVideo
Pour expliquer des innovations complexes, des mesures, des procédures, des idées, un nouveau produit, … Vous avez le choix entre une longue littérature que peu de gens liront, ou créer une courte vidéo explicative qui, en quelques minutes, captivera votre audience.
La vidéo explicative a dû attendre l’émergence d’Internet, l’expansion du haut débit, et sa mutation en média de masse. Dans la catégorie média de masse, nous avions jusqu’ici un seul canal, la télévision. Impossible de réaliser des vidéos explicatives pour la télé : le coût de production et de diffusion étaient rédhibitoires. Le Web a changé la donne : vous produisez pour moins cher, vous diffusez pour pas grand chose, voire pour rien, et vous ciblez avec précision.
La vidéo explicative est aujourd’hui un genre à part entière, bien ancré dans la culture Web. Cela fait plus de dix ans qu’elle se développe. Première du genre : celle réalisée par Common Craft diffusée en 2007. C’est elle qui pose les bases du storytelling : on expose le problème, et on développe la solution. En 2008, l’interface DropBox réalise, elle aussi, l’effet «vidéo explicative». L’entreprise existe depuis quelques années, mais ses utilisateurs sont essentiellement des technophiles, seuls capables de comprendre son fonctionnement. Elle stagne, elle veut toucher plus de monde. Pour convaincre le grand public, DropBox réalise une vidéo explicative, elle scénarise, elle invente un personnage, il rencontre des problèmes, il trouve la solution. Durant le premier mois, elle est visionnée 750 000 fois. Elle fait augmenter le taux de conversion de 10%, entraînant 10 millions d’utilisateurs supplémentaires !
C’est le format idéal pour le Web. En 2017, le très intelligent journal Le Monde décidait de ne diffuser que des contenus de ce genre. «D’abord parce que, de tous les formats que nous avions expérimentés, les vidéos pédagogiques étaient de loin celles qui avaient reçu le meilleur accueil : cartographies animées, analyses filmiques, animations scientifiques, explications en personnages animés…, tous ces éléments étaient à la fois ceux pour lesquels nous recevions le plus de retours positifs, mais aussi ceux qui réalisaient les meilleures audiences. Comme « Comprendre la domination de l’Etat islamique en 7 minutes », « Le réchauffement climatique expliqué en 4 minutes » ou « Comment la NSA vous espionne, expliqué en «patates», pouvait-on lire en mai 2018 dans le quotidien. Pourquoi un tel succès ? Le clip animé — en général – fait partie du marketing émotionnel, il fait facilement appel aux sentiments et à l’émotion. L’émotion est le premier moteur de la viralité. Mais comment faire ?
En voilà une bonne question. En effet, quels sont les critères de qualité ? L’esthétique ? Le propos ? L’histoire ? L’animation ? Oui, mais à condition qu’ils servent trois objectifs : captiver l’audience, expliquer clairement le sujet, et convaincre. Reste à savoir comment bien captiver, faire comprendre et convaincre. Voici quelques pistes.
Pour retenir l’attention de l’audience, ce média a deux outils.
D‘abord l’image : elle doit être accrocheuse et surtout esthétique pour captiver. Les premiers contenus réalisés aux États-Unis étaient simples, elles mettaient en scène des petits bonhommes bâtons, c’était mignon, c’était surtout nouveau. Elles prenaient les gens par surprise. C’était efficace. Mais la tendance a vite évolué. Et comme l’attention de l’audience est de plus en plus courte, il faut toujours l’étonner. Il faut constamment inventer de nouveaux styles, essayer d’avoir une longueur d’avance.
Et puis, il y a le texte, par la voix-off ou les sous-titres. D’emblée, l’audience doit se sentir concernée. Si vous vous adressez directement à elle, si vous soulevez une question qu’elle se pose, alors vous l’accrochez. Il faut donc aller chercher ses interrogations et faire preuve d’empathie. Soit vous êtes en phase avec l’audience, soit vous réalisez des recherches. Encore faut-il savoir bien communiquer sur cette compréhension du problème. Car bien souvent on cherche à se vendre en pratiquant un peu trop l’auto-flatterie, alors qu’on se vend mieux en se mettant à la place de son audience. Ce que des professionnels de l’audiovisuel doivent savoir faire. Plus globalement, on capte avec la voix, les mots, les couleurs, les dessins, le timing, l’animation, la musique. Ces éléments forment un tout, assez dépouillé pour que le message et la communication réalisés restent clairs.
Dis comme ça, c’est une évidence. Et pourtant, il arrive que deux minutes d’explication suffisent à vous embrouiller davantage. En cause bien souvent : l’abondance d’informations, des informations mal organisées, des termes trop complexes… Vous devez d’abord exposer le problème que votre idée ou votre solution résout. Ce problème, votre audience le connaît bien, elle se sent alors comprise. Ce qui lui permettra de bien saisir le pourquoi de votre proposition. Elle sera tout ouïe pour la suite. C’est à ce moment-là que vous décrivez la solution. Vous devez être parfaitement clair. Si le lien entre le problème et la solution n’est pas évident, le discours ne marche pas. Et l’audience ne se sentira pas comprise. Votre pédagogie passe par la structure du message, l’enchaînement des idées doit être logique et fluide; l’harmonie entre les mots et le visuel doit être travaillée ; le vocabulaire doit être celui de la cible.
Dans le cadre d’une communication d’entreprise ou institutionnelle, le but de votre contenu est de pousser à l’action. Cela se résume dans ce que l’on appelle le Call to action (CTA) : « Appelez-nous », « Engagez-vous », « Retrouvez-nous sur notre site »…. Ce « CTA » est indispensable : il précise à votre audience la prochaine étape à suivre pour ne pas la laisser les bras ballants. Pour l’amener à passer à l’action, il faut la convaincre. Comment la convaincre ? En gagnant sa confiance. Comment gagner sa confiance ? En s’appuyant sur trois leviers :
Vous avez pu découvrir le premier chapitre de notre livre blanc, si vous souhaitez découvrir la suite, téléchargez-le ;)
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Réaliser de meilleures vidéos explicatives
TopoVideo réalise des vidéos explicatives depuis 2014. Nous avons accompagné plus de 400 clients et réalisé plus de 1000 vidéos. Dans ce livre blanc, TopoVideo vous partage son expérience dans la réalisation de vidéo explicative à travers 3 chapitres :
1 – Une bonne vidéo explicative, c’est quoi ?
2 – Comment produire une vidéo explicative ?
3 – Quelles sont les étapes de production d’une vidéo explicative ?
Pour expliquer des innovations complexes, des mesures, des procédures, des idées, un nouveau produit, … Vous avez le choix entre une longue littérature que peu de gens liront, ou créer une courte vidéo explicative qui, en quelques minutes, captivera votre audience.
La vidéo explicative a dû attendre l’émergence d’Internet, l’expansion du haut débit, et sa mutation en média de masse. Dans la catégorie média de masse, nous avions jusqu’ici un seul canal, la télévision. Impossible de réaliser des vidéos explicatives pour la télé : le coût de production et de diffusion étaient rédhibitoires. Le Web a changé la donne : vous produisez pour moins cher, vous diffusez pour pas grand chose, voire pour rien, et vous ciblez avec précision.
La vidéo explicative est aujourd’hui un genre à part entière, bien ancré dans la culture Web. Cela fait plus de dix ans qu’elle se développe. Première du genre : celle réalisée par Common Craft diffusée en 2007. C’est elle qui pose les bases du storytelling : on expose le problème, et on développe la solution. En 2008, l’interface DropBox réalise elle aussi l’effet «vidéo explicative». L’entreprise existe depuis quelques années, mais ses utilisateurs sont essentiellement des technophiles, seuls capables de comprendre son fonctionnement. Elle stagne, elle veut toucher plus de monde. Pour convaincre le grand public, DropBox réalise une vidéo explicative, elle scénarise, elle invente un personnage, il rencontre des problèmes, il trouve la solution. Durant le premier mois, elle est visionnée 750 000 fois. Elle fait augmenter le taux de conversion de 10%, entraînant 10 millions d’utilisateurs supplémentaires !
C’est le format idéal pour le Web. En 2017, le très intelligent journal Le Monde décidait de ne diffuser que des contenus de ce genre. «D’abord parce que, de tous les formats que nous avions expérimentés, les vidéos pédagogiques étaient de loin celles qui avaient reçu le meilleur accueil : cartographies animées, analyses filmiques, animations scientifiques, explications en personnages animés…, tous ces éléments étaient à la fois ceux pour lesquels nous recevions le plus de retours positifs, mais aussi ceux qui réalisaient les meilleures audiences. Comme « Comprendre la domination de l’Etat islamique en 7 minutes », « Le réchauffement climatique expliqué en 4 minutes » ou « Comment la NSA vous espionne, expliqué en «patates», pouvait-on lire en mai 2018 dans le quotidien. Pourquoi un tel succès ? Le clip animé -en général- fait partie du marketing émotionnel, il fait facilement appel aux sentiments et à l’émotion. L’émotion est le premier moteur de la viralité. Mais comment faire ?
En voilà une bonne question. En effet, quels sont les critères de qualité ? L’esthétique ? Le propos ? L’histoire ? L’animation ? Oui mais à condition qu’ils servent trois objectifs : captiver l’audience, expliquer clairement le sujet, et convaincre. Reste à savoir comment bien captiver, faire comprendre et convaincre. Voici quelques pistes.
Pour retenir l’attention de l’audience, ce média a deux outils.
D‘abord l’image : elle doit être accrocheuse et surtout esthétique pour captiver. Les premiers contenus réalisés aux États-Unis étaient simples, elles mettaient en scène des petits bonhommes bâtons, c’était mignon, c’était surtout nouveau. Elles prenaient les gens par surprise. C’était efficace. Mais la tendance a vite évolué. Et comme l’attention de l’audience est de plus en plus courte, il faut toujours l’étonner. Il faut constamment inventer de nouveaux styles, essayer d’avoir une longueur d’avance.
Et puis, il y a le texte, par la voix-off ou les sous-titres. D’emblée l’audience doit se sentir concernée. Si vous vous adressez directement à elle, si vous soulevez une question qu’elle se pose, alors vous l’accrochez. Il faut donc aller chercher ses interrogations et faire preuve d’empathie. Soit vous êtes en phase avec l’audience, soit vous réalisez des recherches. Encore faut-il savoir bien communiquer sur cette compréhension du problème. Car bien souvent on cherche à se vendre en pratiquant un peu trop l’auto-flatterie, alors qu’on se vend mieux en se mettant à la place de son audience. Ce que des professionnels de l’audiovisuel doivent savoir faire. Plus globalement, on capte avec la voix, les mots, les couleurs, les dessins, le timing, l’animation, la musique. Ces éléments forment un tout, assez dépouillé pour que le message et la communication réalisés restent clairs.
Dis comme ça, c’est une évidence. Et pourtant il arrive que deux minutes d’explication suffisent à vous embrouiller davantage. En cause bien souvent : l’abondance d’informations, des informations mal organisées, des termes trop complexes… Vous devez d’abord exposer le problème que votre idée ou votre solution résout. Ce problème, votre audience le connaît bien, elle se sent alors comprise. Ce qui lui permettra de bien saisir le pourquoi de votre proposition. Elle sera tout ouïe pour la suite. C’est à ce moment-là que vous décrivez la solution. Vous devez être parfaitement clair. Si le lien entre le problème et la solution n’est pas évident, le discours ne marche pas. Et l’audience ne se sentira pas comprise. Votre pédagogie passe par la structure du message, l’enchaînement des idées doit être logique et fluide; l’harmonie entre les mots et le visuel doit être travaillée; le vocabulaire doit être celui de la cible.
Dans le cadre d’une communication d’entreprise ou institutionnelle, le but de votre contenu est de pousser à l’action. Cela se résume dans ce que l’on appelle le Call to action (CTA) : «Appelez-nous», «Engagez-vous», «Retrouvez-nous sur notre site»…. Ce «CTA» est indispensable : il précise à votre audience la prochaine étape à suivre pour ne pas la laisser les bras ballants. Pour l’amener à passer à l’action, il faut la convaincre. Comment la convaincre ? En gagnant sa confiance. Comment gagner sa confiance ? En s’appuyant sur trois leviers :
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